Je suis très heureux de vous annoncer la sortie du PREMIER EBOOK sur le sommeil Partagé !

« Les 7 Secrets d’un Repos Efficace »

Il s’agit d’une introduction au Sommeil Partagé de 40 pages pour démarrer, améliorer  ou booster votre pratique dans les meilleurs conditions. A télécharger GRATUITEMENT !

Voici plus d’un mois que je travaille sur une synthèse du sommeil Partagé pour préparer le livre que je suis en train d’écrire et voilà que la synthèse s’est transformée en ebook et que je décide de vous l’offrir !

Ce n’était pas prévu, mais en y voyant toutes les pépites qu’il comporte, je me suis dit que ce serait vraiment un excellent moyen pour moi de vous aider à approfondir votre pratique !

Je vous offre donc celui-là, il est pour vous 🙂 :

Il s’agit particulièrement d’une synthèse et d’un AIDE MEMOIRE  de 40 pages sur toutes les choses qu’il faut savoir pour APPRIVOISER SON REPOS :

  • tous les principes essentiels,
  • les erreurs à ne pas commettre,
  • les trucs et astuces du bon siesteur,
  • très important : la BONNE ATTITUDE sans quoi rien ne marche,
  • toutes ces choses dont on a beaucoup parlé en commentaire, mais qui ne sont synthétisées nulle part.
  • et plein d’autres infos essentielles à connaitre !

Bref un long travail condensé sur 40 pages pour vous donner la crème du MEILLEUR !

Téléchagez le ici

Vous y découvrirez donc le Sommeil Partagé sous un angle assez différent des posts du blog et en même temps parfaitement complémentaire.

Je vous offre ce guide avec plaisir !

Peut-être pourriez-vous en retour, me faire part de vos commentaires afin de m’aider à l’améliorer ?

Téléchagez « les 7 Secrets d’un Repos Efficace »

A bientôt !

PS : Certaines personnes me demandent si il s’agit du livre sur le Sommeil Partagé que je vous ai promis. Non ! le livre arrivera dans quelques temps et sera nettement plus long, détaillé et étoffé !

PS 2 : Je voudrais d’ailleurs profiter de ce post pour remercier chaleureusement toutes les personnes qui, par leur remarque en commentaire, par mail ou dans le sondage, m’aident énormément à me poser les bonnes questions ! MERCI

Laissez moi vos commentaires !

Que se passe-t-il dans mes siestes ? Est-ce toujours très profond ? Est-ce que je plonge toujours à chaque fois ? Sont-elles toujours pareilles ? Sont-elles toujours aussi reposantes ?

Je vais partager ici ce que je vis personnellement et décrire précisément les différentes situations que j’expérimente, un peu comme si vous étiez à ma place !

L’idée est de vous donner des points de repère intérieurs  pour savoir où vous en êtes avec votre sieste. Est-ce que vous faites ce qu’il faut ? Êtes-vous réellement en train de vous reposer ? Êtes-vous réellement sur la bonne voie ?

Pour certains, cela ressemblera à ce qu’ils vivent peut être déjà, pour d’autre ce sera certainement éclairant !

Car c’est vrai qu’une grosse difficulté au début, je le reconnais, est de ne pas savoir si ce qu’on fait est bien, n’est ce pas ?  Comme si vous conduisiez un avion sans altimètre pour connaître votre hauteur réelle … Vous n’avez pas de moniteur et ce n’est pas toujours évident. Cependant, il y a des points de repère que vous pouvez apprendre à remarquer.

(suite…)

A l’occasion du festival « la croisée des blogs » sur le thème de la guérison, je voudrais vous parler d’un sujet transversal au repos : La guérison. Et spécifiquement la guérison des maladies dont on ne guérit pas mais dont certains guérissent quand même…

N’est ce pas l’esprit du Blog de chercher dans les coins pour voir ce qui s’y passe ?

Alors allons y. Je vais vous parler ici de ma propre expérience de guérison et des liens étroits avec la gestion du sommeilqui me tient tant à cœur et qui est un véritable traitement de la fatigue chronique. Pourquoi ? Vous allez le découvrir. Mais tout d’abord examinons un peu ce que sont ces guérisons.

Les guérisons remarquables

Étrange non ? Comment peut on « guérir » des maladies dont on ne « guérit » pas  🙂 ? Je ne sais pas, c’est un paradoxe de la médecine.

Comment peut on guérir des maladies dont on ne guérit pas ?

Et pourtant ces guérisons existent. Il s’agit de guérisons que la médecine n’explique pas et qui sortent complètement des statistiques les plus optimistes. En réalité, la médecine actuelle  les classe dans le chapitre des guérisons dites remarquables ou spontanées voire idiosyncratiques puis les oublie. Elles ne font étrangement rarement l’objet d’études officielles.

Des livres et des expériences bien réelles

Et pourtant cela n’a pas toujours été le cas. Il y notamment le Docteur Charcot au 19eme siècle qui s’est très longuement interrogé sur ces guérisons inexplicables. Un de ses essais sur le sujet vaut vraiment le coup d’être lu, il s’agit de «La foi qui guérit ». Il y décrit plusieurs cas de ses patients estimés en phase terminale qui soudainement, en très peu de temps retrouvent la santé.

D’autres auteurs et des médecins se sont intéressés à cela (très peu) et il existe quand même quelques livres étonnants sur le sujet.  Mes préférés sont les guérisons remarquables de Caryle Hishberg, Marc-Ian Barasch et le livre « La guérison par l’esprit » de Stefan Zweig. Le premier est un travail d’investigation de fond pour retrouver des guéris, leur médecin, leur dossier médical et de tout mettre en relation. Le deuxième est un essai retraçant 4 grandes périodes de l’histoire où on a pu observer des guérisons remarquables.

Puis il y a des individus isolés qui écrivent parfois des livres sur leurs propres expériences, et d’autres qui restent dans l’ombre, car il est très difficile d’en parler. Non pas que ce soit douloureux pour la personne qui dévoile sa vie, mais plutôt parce que les gens ne les écoutent pas vraiment, ils n’y croient pas.

J’en parle d’expérience car je fais partie de ces gens de l’ombre qui ont guéri d’une maladie inguérissable. Pour moi, c’est la sclérose en plaques … C’est une maladie dégénérative du système nerveux … qui finit par ne plus actionner les muscles et qui entraine l’invalidité. 80 000 personnes en France en sont atteintes.

Le fait intéressant dans toutes ces guérisons remarquables comme dans la mienne, c’est que chacun a développé un petit truc à lui, un gros rien en apparence mais qui change tout au fond. Pour moi ça a été la découverte du repos. Ce que je vous livre là est un de ces secrets.

Mon expérience: lutter contre la fatigue

En préambule, précisons que je ne m’estime pas « guéri », mais plutôt que j’ai recouvré la santé, ce qui est très différent sur le fond. Mais voici mon histoire.

Pour faire court, je suis malade depuis 1993, la maladie a progressé en plusieurs années et début 2000 je me suis retrouvé handicapé avec une mobilité très réduite, difficulté d’aller en une fois à la boulangerie en face de chez moi, incapacité totale d’écrire, difficulté d’attraper les pièces dans la poche pour payer, et divers problèmes comme une très GROSSE fatigabilité chronique à la moindre action. Mes périodes de lucidité étaient courtes tout comme mes journées, il fallait  à tout moment, lutter contre la fatigue.

Bref pas drôle du tout. Et puis vers 2005, mon chemin a croisé par hasard une interview sur la façon dont les skippers se reposent en mer et ça a tout de suite fait TILT : c’est ça qu’il me faut ! Je me suis alors littéralement pris pour un skipper dans la mer déchainée de ma propre maladie et je me suis mis à apprendre tout seul à faire ce dont l’interview parlait. Mon idée était d’apprendre à me reposer pour prévenir mes gros coups de fatigue avant qu’ils ne m’anéantissent.

Et petit à petit ça a marché ! Ces siestes courtes à tout moment opportun me remettaient d’aplomb et je me suis mis à sortir la tête de l’eau progressivement par rapport à la fatigue. Petit à petit, c’est devenu un véritable traitement de la fatigue chronique.

Le point intéressant, est qu’en étant malade la moindre erreur de sieste était sévèrement punie par une diminution de mes capacités physiques, et j’ai pu développer une compréhension fine de l’effet des siestes, le comment,  le pourquoi et trouver ce qui était vraiment bon pour ma santé.

  • J’ai notamment compris qu’en se reposant régulièrement (2 à 3 fois par jour) à l’aide de siestes calées sur mon chronotype, en plus d’une nuit assez courte, j’arrivais à récupérer de tout beaucoup mieux qu’en dormant une seule fois d’un coup.
  • Au début, je faisais des nuits de 7h en plus des siestes et rapidement je les ai vues naturellement se réduire à parfois 3h, ce qui était exceptionnel pour moi !
  • J’ai également expérimenté les effets directs de « l’over sleep » sur mes facultés physiques, qu’un rien détériorait. Pour moi en tant que malade, dormir tous les soirs 8h d’affilée est improductif et me semble même accroitre les symptômes en anesthésiant mes facultés à y réagir.

Bref, j’ai fait de l’expérimentation sur moi même… Le point important est que je ne pouvais à aucun moment compenser, ce qui fait que quand quelque chose réussissait, je pouvais être certain de sa qualité.

Alors vous me direz, ce n’est pas cela qui m’a guéri. Non bien sur, mais ça a été et c’est toujours un levier qui a rendu les choses possibles. Après, l’histoire se perd dans la découverte de la PNL (programmation neuro linguistique) et de l’Hypnose pour créer des outils adaptés (ce qui pourrait faire l’objet d’un autre blog), mais la gestion du repos est toujours là en tâche de fond à chaque instant. Voilà pourquoi je m’intéresse tant à promouvoir cette technique du Sommeil Partagé !

Alors aujourd’hui, pour poursuivre l’histoire, je marche normalement, j’écris normalement, il y a deux ans j’ai repris la planche à voile, je rejoue de la guitare et j’ai développé de zéro mes activités professionnelles … mais je continue toujours mon système de repos qui est devenu comme une façon d’être.

Aujourd’hui je suis devenu Hypnothérapeute et j’aide ceux qui le désirent à prendre conscience de leur potentiel d’auto-guérison.

Si vous souhaitez rentrer en contact avec moi,

C’est possible via SKYPE <ICI>

Directement à mon cabinet

Mais revenons à ces guérisons remarquables de façon générale.

Comme je le disais, ces rémissions ne semblent pas vraiment intéresser le corps médical aujourd’hui.  Pourquoi ? N’y aurait il pas certaines choses à apprendre de ces expériences ? Quelques médecins et des philosophes se sont intéressés à comprendre. J’aime bien la vision de Jean Clavreul  dans « l’ordre médical » (psychiatre et philosophe).

Pour lui, la médecine est centrée sur elle même. Elle s’est construite sur un système géocentrique qui rejette d’emblée tout ce qu’elle ne peut pas expliquer avec ses propres outils. L’utilité a été grande en son temps quand il a fallu éloigner l’obscurantisme et développer un système génératif.

La médecine avance pas à pas et elle a raison car elle doit s’appuyer sur des fondements solides pour pouvoir être applicable à tous,  ce qui est sa raison d’être. Cependant le revers de la médaille est que la médecine rejette l’expérience même de ce qu’elle cherche à découvrir.

De la difficulté d’en parler. Alors guérison ou pas ?

Dans notre société il est très difficile de parler de tout ça, pourquoi ? Parce que même les médecins n’y croient pas (enfin certains seulement, heureusement). Donc peu de gens en parlent de peur d’être pris pour des fous ! Paradoxalement, les associations de malades sont également très réfractaires à entendre parler de cela.

Donc j’en parle aujourd’hui sans aucune illusion sur la portée de mes propos. J’ai juste l’espoir de mettre la puce à l’oreille ne serait ce que d’une personne qui, comme je l’ai fait à l’époque, tomberait sur cet article par hasard …

En conclusion, si vous voulez « guérir » de quoi que ce soit la première chose à faire, en complément d’un traitement médical adapté, est de travailler sur votre propre libre arbitre et de regarder sous les pierres pour voir ce qui s’y passe vraiment et découvrir ces gros riens qui transforment le bon en excellent !

Vous en êtes au dixseptieme post de la série sur le sommeil partagé. si vous voulez lire tout ce qui a été écrit en reprenant au début, c’est ici : Sommeil Partagé. Lancement de la série

Voici une petite synthèse du sommeil partagé pour lutter contre la fatigue.

Ça y est on a changé d’heure, la lumière diminue, le froid s’annonce et tout cela fait ressurgir nos besoins en repos, la fatigue rôde comme chaque année … Elle nous surprend au moment même où nous voudrions faire quelque chose d’important ou d’intéressant.  Elle se glisse en nous et réduit nos performances intellectuelles et physiques.

Et nous nous demandons, que faire contre cette fatigue ? Alors comme chaque année, on se précipite vers les cures de vitamines et les excitants pour nous aider à passer le cap. On consulte un médecin qui nous prescrit encore d’autres compléments, on commence à déprimer … enfin … si on ne sait pas chercher de solutions en dehors des sentiers battus !

Car il y a d’autres solutions … et le sommeil partagé en est une très performante ! Un remède naturel contre la fatigue. (suite…)

Aujourd’hui je reçois Héléna, qui a réussi à intégrer de façon géniale le sommeil partagé dans sa vie, en un temps record, pour sa plus grande satisfaction 🙂

Il s’agit d’une interview de 20 minutes que nous avons retranscrite ici, et qui présente les raisons pour lesquelles elle s’est mise au Sommeil Partagé, les résultats pour sa vie personnelle et professionnelle,  tout son parcours pour y arriver et des conseils issus de son expérience au travail.

A lire absolument donc, pour motiver les derniers indécis à s’y mettre, conforter dans leur choix ceux qui ont déjà commencé et aider ceux qui auraient besoin de support sur des points particuliers !

Notons que l’objectif ici n’est pas de prôner un mode de vie en particulier, mais de partager un très bel exemple concret d’application.

(suite…)

À la lumière de commentaires et d’expériences personnelles que j’ai eues récemment, je voudrais faire un petit retour sur les outils indispensables dont vous avez besoin pour faire une bonne sieste ou un repos court.

J’en ai déjà parlé de façon générale dans d’autres posts, mais c’est tellement important  que nous y consacrons ce nouveau post. Ici je vais donc être plus spécifique et plus précis sur les différentes possibilités qui s’offrent à nous, qui sont multiples.

Nous avons vu ici (la sieste de 20 minutes) qu’il y a trois outils absolument nécessaires pour réussir une bonne sieste  :

  • Quelque chose pour se couvrir
  • Quelque chose pour s’isoler du bruit
  • Quelque chose pour s’isoler de la lumière

Examinons les différentes possibilités qui s’offrent à nous :

(suite…)

… sommeil partagé et examens, suite du post précédent

Voici donc 4 typologies de sommeil que je vous suggère en fonction de vos possibilités personnelles :

La première chose qu’on peut remarquer, c’est qu’il y a globalement deux grandes options dans lesquelles vous pouvez vous définir :

  1. Vous êtes plutôt du soir, et vous aimez travailler le soir ;
  2. Vous êtes plutôt du matin et vous préférez travailler le matin;

ou bien sur vous, aimez les deux.

Puis, pour chaque mode, on définit 4 possibilités :

  1. Le sommeil conventionnel dit «monophasique»
  2. Le mode conventionnel renforcé, pour ceux qui ne veulent pas changer leurs habitudes, mais renforcer leur productivité dans la journée.
  3. Un mode avec décalage du coucher et gain de deux heures la nuit
  4. Le mode expert pour ceux qui voudraient vraiment gagner 4h la nuit.

On voit que dans chaque cas, plus on va vers le mode expert, plus on doit faire de siestes. Notons que si un passant fait un calcul algébrique du temps passé à dormir, il trouvera que ces modes de sommeil ne font pas gagner tant d’heures que ça. Seulement, l’expert en sommeil doit bien comprendre que les siestes de la journée ne servent pas à gagner du temps la nuit, mais plutôt à être plus en forme tout le temps. Nous ne cherchons pas le gain de temps à tout prix, mais le gain de productivité dans le cadre de la révision d’examens … et dans ce cadre on peut assurer que le gain double !

Les siestes

Arrêtons-nous un instant sur le principe des siestes proposées ici et sur la façon dont elles doivent s’organiser :

Les siestes de 20 min doivent délimiter des périodes de travail particulières.

Par exemple, si vous faites une sieste à 13 h, on dira qu’elle délimite la fin du travail du matin et le début de celui de l’après-midi. Si vous faites une sieste à 18 h, on dira qu’elle délimite la fin du travail de l’après-midi et le début de celui du soir. Si vous vous levez à 4h pour bosser, vous ferez une sieste vers 8h pour mettre fin à ce temps de travail matinal si particulier. Si vous êtes un couche-tard, vous pouvez faire une sieste à 23 h pour marquer le début du travail nocturne, etc.
L’idée est vraiment que la sieste permette de remettre les pendules à zéro exactement comme le sommeil nocturne fixe la fin d’une journée, remet les pendules à zéro, et détermine le début d’une nouvelle journée par le réveil.
Je vois plusieurs raisons à cela :

  • Ça reprend un principe naturel,
  • Il est nécessaire de structurer son repos et de se fixer des habitudes, sans quoi on a vite fait de se croire très fort, d’oublier un peu souvent de se reposer et donc de déraper.
  • Notre cerveau a besoin d’avoir des repères de repos, pour savoir combien il peut donner.

Sur ce dernier point, vous pourriez être surpris de constater que votre organisme maîtrisera très bien sa fatigue et ses efforts si vous avez savez à peu près quand vous allez vous reposer et combien de temps et aussi si vous avez montré que vous en étiez capables plusieurs fois.  A contrario, il vous les fera ressentir très fort s’il n’a pas de repère et s’il a l’impression que ça va continuer comme ça sans limites.

Les repos courts

Je n’ai pas spécifiquement inscrit de repos court sur l’emploi du temps, car les repos courts peuvent se faire n’importe quand, quand vous le sentez. À votre bureau, en bibliothèque, dans les toilettes de la bibliothèque particulièrement si vous voulez faire un repos court de 5 min, dans le transport qui vous ramène chez vous, bref partout.

L’intérêt de ces repos courts est qu’ils redonnent un bon coup de booster quand vous en avez besoin et que vous pouvez en placer n’importe où et n’importe quand sans que ça vous ralentisse dans votre travail. À la fin de la journée, si vous faites le compte, vous vous rendrez compte que le temps de repos court est loin d’être négligeable sur votre temps de repos total.

Quelle stratégie pour qui ?

Tout le monde n’a pas les mêmes envies, les mêmes possibilités et les mêmes capacités. Ce sont trois facteurs à prendre en compte pour déterminer quelle stratégie adopter. Voici des idées pour trouver la vôtre.

Du soir ou du matin ?

Qu’est-ce qui est le mieux pour travailler ? Il n’y a pas de réponse toute faite, moi je penche vraiment pour le matin, car je trouve que ce sont des heures de la journée très prolifiques comme on n’en retrouve pas ailleurs :
Tout le monde dort, il n’y a aucune tentation, pas d’émission télé, pas de gens à voir, pas de bar, pas de cinéma, etc… tout cela en fait une période très particulière.
Par ailleurs, moi j’aime bien l’idée de me dire qu’avant même d’avoir commencé ma journée classique, j’ai déjà pris de l’avance sur le travail à réaliser.
Mais là, c’est vraiment plutôt une question de point de vue, qu’on pourrait débattre longtemps.

Vos envies, votre niveau de sieste

À partir de votre niveau de sieste et aussi de vos besoins, vous pourrez alors choisir un emploi du temps adapté

Si vous avez bien travaillé toute l’année et que vous avez juste besoin d’être plus serein, faites seulement une sieste entre midi et deux et ne changez pas vos habitudes de sommeil
Si vous avez besoin de dégager un peu de temps en plus, vous choisirez le modèle à deux siestes ou temps de repos et cela vous amènera naturellement à diminuer votre temps de repos nocturne, tout en vous maintenant longtemps dans la zone d’excellence. En fonction de vous, vous choisirez de vous lever plus tôt ou de vous endormir plus tard.
Enfin, si vous êtes du type Bachoteur, à vous y mettre 1 mois avant et à travailler jour et nuit pour rattraper le retard, alors vous choisirez trois siestes et 4 heures de sommeil, pour une possibilité de 18 heures de travail continu efficace. Par contre je vous mets en garde de bien maîtriser l’art de la sieste avant de vous lancer !!

Effectivement à vos envies, il faut ajouter vos possibilités, car c’est également votre niveau de sieste qui va déterminer ce que vous pouvez vous permettre.

Si vous ne maîtrisez pas la sieste, ne tentez pas le diable et ne modifiez pas vos habitudes nocturnes. Faites juste une sieste en journée et voyez venir.

Pour en être certain, ne modifiez vos habitudes de sommeil la nuit que si ça vient naturellement parce que vous n’êtes pas fatigué et que vos siestes ont été bonnes. Au début, allez-y doucement. Décalez d’une heure et voyez si vous arrivez à récupérer  le le demain.

Bonnes révisions !

Vous en êtes au treizième post de la série sur le sommeil partagé.

si vous voulez lire tout ce qui a été écrit en reprenant au début, c’est ici :

Sommeil partagé. Lancement de la série

Téléchargez GRATUITEMENT le guide pratique du sommeil Partagé !

Les 7 Secrets d’un Repos Efficace




Comme toujours, si cette série vous plaît (ou pas), soutenez-moi et n’hésitez pas à laisser des commentaires !

Apprendre à TENIR LE STRESS de la révision, ÊTRE EN FORME du matin au soir, TRAVAILLER MIEUX et plus longtemps !

Je voudrais vous montrer dans ce nouveau post, que le Sommeil Partagé est une ÉNORME RESSOURCE pour tous les étudiants qui veulent se surpasser en période d’examen et SURTOUT ÉVITER DE CRAQUER !

Il va s’agir ici d’utiliser le sommeil partagé pour être hyper efficace pendant le marathon de la période de révision et arriver frais et dispo le jour de l’examen. Juste ça !

  • Si vous pensez que vous pourriez être meilleur en étant plus en forme
  • Si vous croyez que vous auriez JUSTE BESOIN D’UN PEU PLUS DE TEMPS,
  • Si les révisions vous épuisent,
  • Si vous vous sentez à la limite,
  • Si vous vous reconnaissez de près ou de loin dans  l’image ci-dessous ;-),

Alors le sommeil partagé est fait pour vous ! (suite…)

Chers Experts en sommeil voici le onzième post sur le Sommeil Partagé !

Beaucoup d’entre vous cherchent dans le sommeil partagé un moyen de rogner un peu sur le sommeil nocturne, c’est légitime ! C’est la question à laquelle répond ce onzième post : comment faire cela sans se fatiguer et sans faire n’importe quoi. C’est un post technique qui nécessite un peu de lecture préalable du blog…

Il y a deux solutions : (suite…)

Nous voilà enfin aux applications pratiques du sommeil partagé :-). Jusqu’ici, nous avions été techniques avec des billets allant de la compréhension de la notion de fatigue jusqu’à comment se reposer en 5 min, nous avons donc les bases. Maintenant nous allons commencer à nous intéresser à la mise en pratique  de tout cela dans de nombreux cas de la vie de tous les jours, en examinant les bénéfices directs pour vous et bien sûr la façon de procéder.

Pour commencer, un premier objectif très facilement atteignable avec le sommeil partagé, est tout simplement d’améliorer votre vie quotidienne, sans forcément chercher une performance quelconque.

Juste améliorer le quotidien, avoir une vie un peu plus souple, moins ressentir la pression, être plus disponible pour ses proches, dégager un peu de temps pour soi le soir, reculer d’une petite heure l’heure d’aller au lit, s’autoriser quelques extra de temps en temps.

Bref, adoucir une vie quotidienne avec, de plus en plus classiquement, beaucoup de pression, de fatigue et de moins en moins de temps pour soi et ses proches.

Il s’agit donc ici d’insérer une petite touche de sommeil partagé dans votre emploi du temps afin de l’aérer, comme une petite aspirine fluidifie un cerveau trop contraint.

Améliorer sa vie personnelle après le travail

Pour beaucoup, le temps de travail et notre vie le soir sont deux périodes bien cloisonnées, mais tout aussi importantes. Le jour est consacré à gagner sa vie et la soirée est consacrée à soi et à ses proches. Cependant, à y regarder de plus près, la journée de travail est considérablement avantagée puisqu’elle profite du meilleur de notre forme physique et intellectuelle. (suite…)